de jean yves :
26 heures de bus pour 38 heures en lorraine
Salut les gars !
Ils sont arrivés vendredi vers 19h au stade Matter, complètement exténué par le trajet.
Puis une fois sur le terrain, les choses on bien changé !vaillant, ils ont même ouvert le score pour finalement s’incliner 26 à 12.bien sur, vu l’engagement, on ne pouvait pas éviter les quelques pignes, deux arcades ouvertes et malheureusement une clavicule.
Une fois sous l’eau pure pour effacer les blessures, la tension redescendait elle aussi pour donner place à la bonne humeur.
Une énorme bonne troisième mi-temps à l’ancienne, avec des rires et des chants.
Bien sur, nous avons très bien mangé grâce à cet excellent repas préparé par Alain M.
Après 8 fûts de bières, quelques litres de vins, pastis, picon , gin et whisky, nos amis bordelais ont pris la navette vers 6h pour rejoindre leur hôtel. Sans oublié la course de mobylette, le « blind test » gagné haut la main par gille de Bordeaux, Paquito chocolaterro, etc…… ;
Quelques petits chanceux d’entres eux, ont dormi chez l’habitante pour leur propre bonheur.
A peine quelques heures de sommeil pour reprendre l’activité principale de la veille, l’apéro puis barbecue, puis direction Toul, pour une simple visite du domaine afin de déguster quelques vins mais surtout la traditionnelle mirabelle de Lorraine avec quiche.
une fois de retour en ville nous avons entamé la fameuse tourné des grands ducs.
Après quelques pas sur la place « staniselas », nous avons commencé par le bar à bière chez « Bertom », puis, le bar à vin « le coup du monocle », en se dirigeant vers le resto, un petit passage au « Blitz », puis le dîner chez « Sylvio » , un karaoké chez le « dim », direction le Vertigo (photos dispo sur (nancy2night.com) rubrique reportage. Mémorable paquito au vertigo avec la bière et mirabelle qui coulaient à flot.
Après, nous avons voulu renter au cave du roi mais vu le nombre de personne, le videur n’a pas voulu nous faire rentrer. il était déjà 5h30. du coup, nous avons du prendre un exutoire pour faire passer nos nerfs.
Nous avons fini chez le « memet » pour grignoter un boire une dernière bière en canette bien sur.
Et nous avons du rentrer à l’hôtel car plus personne nous acceptés, vu le nombre de personne encore en forme pour faire la fête.
Par contre, il manqué quelques bordelais, ou je crois, les plus chanceux on encore dormis chez l’habitante.
Afin voilà. Le seule regret c’est qu’il faut travailler dès demain, que bordeaux c’est loin, et qu’une année c’est long pour attendre notre prochaine rencontre chez eux, là-bas, au bord de la mer !
A plus les copains d’abord !