IL Y AVAIT LA PLACE
WALABUS 20 SPRINGBUS 10.
Sckeck, Bruno, cédric
Cédric Remy avec un “I”
Titac, bob, yannick
Iannis
Jean-yves pof Philippe,
Philippe, vivi, sylvain
Remplacent le blaki, tithierry.
Soigneur, vincent G
Manager : Mr REYD Olivier
Stade de la foret, BORDEAUX, 16h30, temps estival mais paradoxalement sans arbres, donc sans ombres.
50 spectateurs environs. Difficile de faire face à la demi finale du championnat de France retransmit sur France 2.
1er ter temps : 10 à 00
2ème ter temps 10 à 05
Fin du match 20 à 10
C’est vrai que cette année, il y avait la place. On regrettera le manque d’effectif sur ce long déplacement à Bordeaux. 2 remplacent en première ligne, dur physiquement de tenir sous ce soleil de plomb. Mais les joueurs d’olivier Reyd, peuvent être fier de leur prestation.
Dès le coup d’envoie, les joueurs d’Olivier Reyd subisse la pression.
Les Walabus campe carrément dans les 5 mètres des Sprinbus. un moment donné, la défense craque.
Sur un Xème temps de jeu, les Walabus ouvre et par une anticipation de Jean-yves et une absence d’un 2ème rideau, l’ouvreur local, s’infiltre pour aplatir. Petite consolation pour les Bordelais.
Mais après les Sprinbus se réveille mais multiplie les fautes.
en première main sur touche, et sur une simple combinaison annoncée, Jean-Yves donne le ballon mais surpris par l’intercalation de Rémy dans la ligne qui fait un en avant et le centre d’en face, en profite pour aplatir après une course de 60 mètres.
Alors les Sprinbus, relance la vapeur Sur une attaque renversée de-jean-yves, lance popof, pri sèchement, devra quitter le terrain sur blessure. Fin du premier ter temps.
10 à 00, ça fait lourd.
Les locaux remettent ça, c’est normal, la différence est faite mais multiplie les fautes de mains à leur tour. Puis, sur une mêlé dans les 22 mètres, voyant l’ailier avancé, Jean-Yves annonce un coup de pied par-dessus et lance Rémy qui récupère la ballon après un rebond et à son tour, sur une longue course de 95 mètres va aplatir à son tour. 10 à 05.
Le 3 ème ter temps est fatale aux visiteurs. Comme pour son habitude, les Springbus craque à la fin, d’autant plus que la majorité des joueurs sont dans le rouge vif.
Est sur une touche à 25 mètres les locaux combine bien dans l’axe et après trois passes, vont aplatir pour conforter leur avance.
Mais l’expérience de quelques joueurs Sprinbus, vont faire marcher leurs têtes à défaut des jambes et sur une mêlé, Jean-Yves annonce une fausse croisé, s’infiltre derrière le 2ème centre, et avant d’être rattrapé par l’ouvreur et le premier centre sert popof, bien soigné par Vincent G et de retour sur le terrain, et sur une course poursuite de plus de 60 mètres, ramène l’équipe à 15 à 10.
Le suspens s’installe mais surtout le doute chez les locaux. Se qui donne un peu d’oxygène aux visiteurs et s’installe sérieusement chez les Walabus.
Après quelques offensives sans vraiment inquiéter les locaux et une série impressionnante de pic and go les Sprinbus perdent le ballon. Se qui va permettre aux locaux de contre attaquer et sur l’action d’après leur centre revient intérieur pour s’infiltrer à son tour conclure le match 20 à 10.
Le coup de sifflet libère tout le monde, les locaux de reprendre le bouclier et les visiteurs de leur souffrance physique, de la chaleur et des douleurs. Olivier Reyd reprend tout le monde et distribution toutes ces félicitations pour ce match, pour le combat des avants et le réalisme des ¾.
Après une énorme haie d’honneurs, le serrage de mains, la troisième arrive.
Quelle 3ème mi-temps.
Dans un premier temps, c’est de refaire le match autour la bière d’amitié, puis, remise des récompenses autour du breuvage Lorrain. Enfin l’épéro avant de lancer la « Plancha » et la retransmission du Foot. Forcément.
Nous n’avons rien oublié dans le répertoire. Chants basques, grands classiques, les chassons à boire, la course hippique, tic et tac, la chasse à l’ours
Pendant le foot, une partie du jeu « 5 secondes » énorme.
Puis, les comptoirs sud nord est ouest, invention de jean-yves.
Si qui nous emmène vers 2h du mat et les dernières chansons des répertoires respectifs.
Enorme journée.
Franchement, merci à Olivier Reyd, le protagoniste de cet evenement.